Tu me mates dans la rue, reluques bien mon cul. Tu z'yeutes bien mes seins, me prends pour une putain. Tu vois mes bas résilles, tes yeux partent en vrille, ta bouche vient me siffler en un sourire niais. Mais quand je me mets à te jeter, tu me traites de bêcheuse, d'allumeuse. Continue comme ça et c'est ta teutê que j' vais allumer.
Dans ton orgueil puant de mâle dominant, tu sors traquer ta proie, lui imposer ta loi, car toi t'es un chasseur sans reproche et sans peur. Y a rien qui te resiste, prouve-toi que tu existes. T'étais paré à tout dévorer dans ta recherche de chair fraîche, mais t'as les dents pétées car c'est sur un os que t'es tombé.
Toi t'es un fin tireur, the ultimate sniper, tu tombes à la ronde toutes les brunes, toutes les blondes. Mais si comme toi ta meuf veut aller voir du neuf, tu lui passes un savon de chez Carlos Monzon. Mais ce soir fin de l'histoire : pour le rudie d'à côté elle s'est tirée. La queue entre les jambes, c'est à ton tour d' te faire baiser.
(T'es qu'un) Branleur ! Tu peux rêver de finir dans mes bras ! Branleur ! T'as beau insister jamais tu ne m'auras ! Tu peux toujours baver sur moi, me faire les yeux doux, me faire du plat, branleur tu es, branleur tu resteras !