Évohé iobacchos sont les cris de Dionysos
Affolé par ces fées je commets un Dithyrambos
Dithyrambos, Dithyrambos
Parmi les légendes de pain et d'esprit
Il y a celle qui demande aucun répit
C'est celle du fou de nymphes, du temps des lentes
Du temps de la fonte des neiges début de l'année
Dithyrambos, Dithyrambos
C'était devenu un rite : fêter les Sylvestres
Quand bacchant et bacchant s'agitent, danses et orchestres
Dithyrambos, Dithyrambos
Évohé iobacchos sont les cris de Dionysos
Affolé par ces fées je commets un Dithyrambos
Dithyrambos, Dithyrambos
Paralléle à cette histoire, des Dieux de l'Olympe
Il n'a jamais voulu avoir à porter la gympe
Il agitait juste son thyrse, du haut de sa main
Il agitait juste son thyrse, comme tout commun
Dithyrambos, Dithyrambos
Il était vainqueur du concours de l'eskyliasmos souple et ruse
Il fallait surtout pas tomber d'une outre huilée
Dithyrambos, Dithyrambos
Par un malheur de Zeus il est né rené
De sa cuisse creuse
Car dans cette grande famille il y avait point de place
Pou ce qui menace Dithyrambos
Dithyrambos, Dithyrambos
Dithyrambos, Dithyrambos