J'passe pour une caravane, pour un chien qui n'en démord pas.
Le labyrinthe conduit l'homme mobile à des étreintes
Loin du réconfort.
J'passe de sas en sas et mes visites s'espacent.
Des ombres s'échinent à me chercher des noises
Le plus clair de mon temps dans ma chambre noire.
De l'étuve au blizzard, des coups de latte, un baiser.
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser.
J'passe sous silence mes avatars, j'passe sur tes frasques.
M'obnubiler pourquoi, pour un vasistas, loin du réconfort?
J'passe de sas en sas et mes visites s'espacent.
Mes élans me courent et m'entraînent vers d'autres riveraines
Vers la grande inconnue, loin du réconfort.
J'passe de sas en sas et tes visites s'espacent.
Des ombres s'échinent à me chercher des noises
Le plus clair de mon temps dans ma chambre noire.
De l'étuve au blizzard, des coups de latte, un baiser.
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser.
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser.
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser.
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser.
J'passe de sas en sas et mes visites s'espacent.
Des ombres s'échinent à me chercher des noises
Le plus clair de mon temps dans ma chambre noire.
De l'étuve au blizzard, des coups de latte, un baiser.
Des coups de latte, un baiser, un baiser, un baiser.
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser.
Un baiser, un baiser, un baiser, un baiser.
Des coups de latte, un baiser.