Il y a, tellement à vivre,
Dans cette rue princesse la nuit,
Quand dorment les enfants.
Il y a, tellement à rire,
Quand l'ivresse fait d'un souvenir,
Le plus grand des tourments.
Il y a de la jeunesse trop aride,
Pour se contenter des limites que nous impose la raison.
Et on a bien le droit aux pressions,
A l'après coup d'une longue pression,
Sur nos coeurs si jeunes, en mal de vivre.
Puisqu'il n'y a plus de limitations,
A la vitesse de propagation,
Des gens amoureux de la nuit.
Des battements de coeur aux promesses,
Des cris, hurlements, maladresses,
Le bonheur à portée d'un rire.
Un rire tournoyé de tendresse,
Un rire vaut nulle autre richesse,
Que d'oublier nos souvenirs.
Rue princesse quand vas-tu m'offrir,
Une ciguë à me faire pâlir,
Et me faire oublier mon nom.
Et on a bien le droit aux pressions,
A l'après coup d'une longue pression,
Sur nos coeurs si jeunes, en mal de vivre.
Puisqu'il n'y a plus de limitations,
A la vitesse de propagation,
Des gens amoureux de la nuit.
Et on a bien le droit aux pressions,
A l'après coup d'une longue pression,
Sur nos coeurs si jeunes, en mal de vivre.
Puisqu'il n'y a plus de limitations,
A la vitesse de propagation,
Des gens amoureux de la nuit.