(Piero Calabrese/Jeanne Mas/Roberto Zaneli)
Quand la nuit soulève ses longs bras noirs
Les femmes se renferment sans histoire.
Quand le chant du crépuscule se maquille de solitude
J'ai comme un flou qui renverse ma mémoire.
Elles sont là, si inquiètes.
Elles demandent, juste demandent qu'on les aide.
Vivre libres, vivre dans les sentiments qui nous inspirent.
Vivre libres, loin des tourments et des encens.
Quand les drapeaux blancs du désespoir
Flottent dans un vent qui s'égare
Quand la liberté soulage tous ces yeux fardés de larmes
J'ai comme un frisson devant ces images.
Elles sont là, elles sont prêtes.
Dans leurs mains, cette force qu'elles regrettent.
Vivre libres, vivre dans les sentiments qui nous inspirent.
Vivre libres, loin des tourments et des encens.