Depuis toi, moins souvent le hasard de penser vient me chatouiller le nez,
J't'ai tellement dit qu'toi seule me connaissait vraiment mais moi j'fais quoi moi maintenant que t'as pris le vent...
J'm'accroche à des placebos en jupette, quelques rustines pour mon coeur d'athlète,
Je retrouve quelques vieux amis, puis si je n'les aime plus autant, tant pis...
Refrain:
Même si ce monde à un goût et que l'on s'attache pour ne pas devenir fou, et que les gens s'aiment beaucoup trop pour être vrai, de toute façon peu importe on n's'aime pas, On s'occupe pour oublier...
Et quand le monde s'endort, moi je compte le peu de mes rêves qui ne sont pas encore morts et chaque nuit je sombre un peu plus vite.
Faites que je parte avant que plus rien ne m'habite.
Plus j'les entends s'écouter, plus je regrette, que t'ais fait ton temps sur ma planète.
Les gens sont faux, c'est toujours le même cinéma,
Ecoute, vois que je te raconte et surtout, tais toi.
Au fond t'étais bien plus qu'une raison de plaire, t'étais devenue mon seul contact sur terre.
J'crois qu'j'suis mort, j'aimerai en avoir le coeur net,
Quelqu'un voudrait-il bien pincer mon squelette?
Au chaud dans ce nombril commun, j'en ai oublié qu'il y avait autour le monde entier,
Elle avait d'la gueule notre bulle deux places avant que sous ta peau, tu ne me remplaces.
En quelques années de vie, j'ai mangé tout mon pain de mie.
T'as mis une croix sur notre affaire, le doigt sur l'histoire de la vie,
Au fond on a un grand amour puis des petits.
Refrain